Bref historique
Le CSFPB a vu le jour en 1978. De 1979 à 1995, les revenus provenaient uniquement de la vente de macarons. En 1995, le Conseil de Breakeyville municipalisait les loisirs et prenait à son compte l’opération des sentiers de ski de fond. Cette prise en charge s’est poursuivie après la fusion avec la ville de Lévis en 2001. Lors de la saison 2003-2004, la pratique du ski de fond a dû être interrompue suite aux entraves et dangers créés par les opérations de construction du golf La Tempête. À l’automne 2004, la Ville de Lévis fait part de l’impossibilité pour elle de remettre sur pied le ski de fond à Breakeyville pour la saison 2004-2005. La Ville désire ne plus assumer seule cette tâche mais souhaiterait plutôt accorder l’aide nécessaire à un organisme qui s’y consacrerait. À cet effet, le 13 octobre 2004, le CSFPB est remis en fonction par une assemblée de citoyens. Pour obtenir la participation de la Ville, le CSFPB doit suivre une nouvelle procédure (incorporation, reconnaissance par la Ville… ) Le 26 novembre 2004, le Registraire des entreprises délivre au CSFPB les lettres patentes le constituant en personne morale sous la dénomination sociale « Club de ski de fond Les Pionniers de Breakeyville ». Le 7 février 2005, le Conseil de ville reconnaît le CSFPB et le classifie dans la catégorie «Partenaire», secteur « Sports et plein air ». La Chaudière (ouvert en 2021) (et du nom de la rivière) est un corridor de ski de fond sur la piste cyclable (et de marche en hiver). Elle s’étend de la Halte des Pins aux Parc des Mélèzes (il faut traverser l’avenue St-Augustin). Rendu au Parc des Mélèzes, vous accédez à la Léda. Rendu près de la Halte des Pins, poursuivez en direction de l’avenue St-Augustin (au bout de la piste), en traversant l’avenue, marchez environ 100 mètres vers la droite et vous accéder à la Alice. Les noms de nos sentiers
Comme on le voit, les noms donnés aux sentiers veulent de façon générale célébrer les mères de Breakeyville qui par leur courage ont permis que notre communauté puisse progresser jusqu’à nos jours. Si les prénoms de toutes ces mères Breakeyvilloises ne s`y retrouvent pas, c’est simplement qu’il n’y a pas assez de sentiers pour les nommer toutes.
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